On ne pose pas de lapin [PV Cuddy]

House savait que Cuddy ne reviendrait pas à son bureau de l’après midi et il savait aussi qu’il allait devait la faire parler, sinon elle n’irait pas bien. Il ce dit que le seul endroit calme en ville, à part la maison de Lisa, était le par cet qu’à cette heure si, il ne devait y avoir que très peu de monde. Il arriva là-bas et regarda les alentours, sans la trouver, elle devait encore être à sa réunion. Alors, il alla à un banc et regarda quelques couples et des familles autour de lui, trop de bonheur, lui fit faire une vilaine grimace. Puis, il sortit une bouteille d’eau qu’il avait prit avant de venir et commença à en boire, quand il vit Lisa au loin, qui marchait et apparemment dans ses pensées. Il la fixa sans rien dire, il n’allait pas crier, même si il aurait bien aimé, non, il préférait attendre qu’elle arrive près de lui, pour ne pas la faire fuir. Elle était trop loin, pour qu’il puisse la rattraper. Alors, il la regarda marcher et posa sa bouteille sur le banc à côté de lui.

Deux heures, deux longues et interminables heures à écouter l'autre furoncle lui vanter les nouveaux magnifiques produits que vendaient sa firme pharmaceutique, et outre quelques commentaires graveleuses sur un réparant les problèmes d'érectibilité, Cuddy avait but deux verres de vin rouge pour tenir le coup et bizarrement l'alcool aidant se sentie au final plus légère. Une fois le rendez-vous terminé (encore heureux c'était lui qui avai tpayé la note), elle quitta le restaurant à pieds direction le centre ville et le parc pour prendre l'air au calme.
Quand elle entra dans le parc, elle ne se doutait pas encore que la silhouette vague qu'elle aperçevait assise sur un banc n'était autre que Greg qui l'avait en quelque sorte suivie, et plus elle avançait plus son énervement semblait suivre la cadence de ses pas, et elle finir par venir se planter debout devant lui, une main sur la hanche l'autre tenant son sac à main.

- Je suis partagée entre l'envie de vous émasculer sur le champ ou de porter plainte pour harcelement.

House la regardait toujours et il prit sa bouteille d’eau pour en boire et en relevant la tête, il vit que Cuddy arrivait à grand pas vers lui, au moins elle l’avait reconnu. Puis, il la regarda et ferma sa bouteille d’eau, une fois qu’elle eu finit de parler.

- Je dirais que pour le harcèlement, il y aura forcément une injonction du juge pour que je ne vous approche pas à une distance raisonnable et donc je pourrais ne plus travailler, ça c’est pas mal. Pour ce qui est de m’émasculer, vous ne pourriez pas, il faudrait que vous me passiez dessus et apparemment, ça ne vous tente pas, donc il va falloir trouver une autre solution.

Puis, après avoir dit tout cela, d’un naturel au du commun mais qu’elle connaît très bien, il lui fit signe de venir s’asseoir à côté de lui. Il n’avait pas envie de marcher, juste de parler et qu’elle lui dise ce qui n’allait pas. Ca pouvait être tout et n’importe quoi, ces fécondations ratées, un garçon qu’elle pensait gentil et qui finalement la laisser tomber, ou tout simplement, un patient énervant qui lui prend la tête, alors il la regarda et espérait qu’elle allait s’asseoir.

Oh ca oui, elle avait depuis le temps eut le temps d'accepter le comportement d'House, son naturel déconcertant et ses manies de se mêler de ce qui ne le regardait pas. Elle soupira, car dans le fond il n'avait pas tort, du moins pour la partie harcelement mais quand au reste il n'en saurait jamais rien pour sûr.

- Croyez-moi j'ai déjà pensé à bien des moyens de me débarasser du poids que vous constitué sur ma conscience.

Dit-elle alors et fini par s'asseoir à ses côtés, elle aurait bien sûr préféré pouvoir réfléchir au calme à toutes sorte de chose, mais il semblait si déterminé à vouloir lui sortir les vers du nez qu'elle savait par habitude qu'il lui collerait lui aussi aux basques tant qu'elle ne lui aurait pas parler, alors autant en finir au plus vite, comme un pansement qu'on arracherait le plus vite possible pour ne pas trop avoir mal.

- Je n'arrive pas à choisir.

Sans rien dire de plus pour préciser le problème qui la tracassait, il comprendrait bien assez tôt et elle savait qu'il avait lu son courrier et savait donc pour sa demande de fécondation, elle attendait donc ses habituelles remarques sarcastique au moins ensuite pourait-elle s'en allée.

House l’écouta parler et il prit sa bouteille, pour boire à nouveau et en entendant le propos de Cuddy, il eu un léger sourire, perceptible, mais qu’il effaça rapidement, pour la voir s’asseoir à côté de lui. En même temps, elle n’avait pas tort pour le fait qu’elle avait dû chercher depuis longtemps comment le faire fuir ou en tout cas, le fait qu’elle pouvait le mettre à la porte, sans qu’il perde sa réputation non plus, ça il savait que s’il devait partir elle ne fera rien pour ternir sa réputation. Puis, une fois assise à côté de lui, il l’écouta parler et avec les quelques mots qu’elle dit, il ne dit rien et fit un simple hochement de tête.

Il ne dit rien, il voyait de quoi elle parlait, mais il voulait l’entendre de ses propres mots et de sa bouche, c’était à elle de tout dire et de lâcher ses propos, pour se sentir plus légère. Il reprit de l’eau et la fixa dans les yeux, attendant une réaction de sa part, c’est vrai que lui ne disait rien et qu’elle serait étonnée de sa non réaction, mais il ne dit rien et la laissa continuer de parler.

- Je me demande bien pourquoi je parle de ça avec un homme qui ne conçoit pas la vie privée autrement qu'une succession de call-girls dans son lit.

Dit-elle en se levant du banc devant un tel mutisme, il lui courrait, littéralement, après pour ne rien dire au final, non cette fois elle en avait assez. Elle le salua alors, et reprit son chemin dans les allées du parc pour finir par décrocher son portable alors qu'elle tournait dans un autre chemin. Elle l'avait planté sur place, pas la première ni la dernière fois qu'elle le ferait mais bon cette fois-ci elle n'avait pas envie de sortir de ses gonds pour si peu, pour elle c'"était un choix important, et pour lui simplement un autre moyen de divertissement en se réjouissant de sa peine, vraiment navrant de ne pouvoir tirer plaisir que du malheur des autres. Et même si clairement en le laissant derrière elle elle lui signifiait qu'elle ne voulait plus le voir, elle se doutait bien que cureixu comme il était il reviendrait à la charge, ce à quoi elle avait bien décider de totalement l'ignorer et dieu sait que la tâche lui serait surement ardue

Il l’écouta parler et quand il la vit partir, il baissa la têt, énervé par son comportement, pour une fois qu’il ne la coupait pas dans ses propos et qu’il voulait bien l’écouter, elle partait, comme ça. Il aurait du mal à la comprendre, ça c’était sûr et certain, il se leva et après avoir prit une gorgée d’eau, il partit tranquillement et la vit regarder son portable, alors il eu une idée. Il marcha jusqu’à la voir au coin de la rue et il prit son portable. Elle était assez loin et pour le moment, elle ne pouvait pas le voir, mais plus elle approchait et plus il jouait avec le feu, alors, il prit son portable et l’appela. Il attendit qu’elle décroche et il avait tout prévu, il avait mit numéro masqué et dans le coin de la rue, il regardait comment elle allait réagir, mais parfois, il devait se pousser, pour qu’elle ne le voit pas la fixer.

Il se dit qu’elle allait lui raccrocher en nez, en l’entendant parler au téléphone, mais il insisterait, tant qu’il n’aurait pas de réponse. Pour la première fois qu’il la laissait parler, sans rien dire et rien faire, il ce dit que c’état bien la peine de faire un minimum de compréhension pour recevoir un vous êtes nul en pleine figure. Alors, il attendait qu’elle décroche, pour lui parler.

Elle raccorchait tout juste quand son portable sonna à nouveau, un numéro inconnu et donc forcément masqué. Elle déccrocha alors bien loin de se douter de qui l'apellait en fait.

- Lisa Cuddy.

Elle continuait de marcher, tenant son sac dans l'autre main, elle avait êut-être mal réagit avec lui mais il mettait tellement ses nerfs à l'épreuve qu'au bout d'un certain temps, même avec toute la meilleure volonté du monde venait un moment où elle n'avait d'autre chose que d'exploser et partir avant de vider son sac sur lui, bien qu'il l'aurait mérité parfois. Elle s'arrêta au stand ambulant de café, demandant au serveur un grand gobelet, un café noir et serré, attendant devant le stand, le portable coincé entre son épaule et sa joue pour trouver dans son sac son porte-feuille pour pouvoir le café au vendeur. Evidement elle n'avait plus assez de monnaie, tant pis, aujourd'hui la journée du vendeur serait bonne, il aurait près de 3.50$ de pourboire, ce qui devait lui arriver une fois tous les ans que des clients lui laisse autant de monnaie, mais bon toute cette journée commençait à lui faire regretter de ne pas être restée au fond de son lit ce matin.

House regarda et la vit décrocher son téléphone, il entendit alors, quand elle parla. Un sourire se dessina sur son visage et il attendit un peu avant de répondre. Il laissa un blanc, on entendait juste sa respiration. Il regarda ce qu’elle faisait et il vit qu’elle prenait un café, alors il ce dit qu’il allait pouvoir parler de ça dans sa conversation.

- Vous pourriez m’en acheter un ave le pourboire que vous lui laissez.

House sourire aux lèvres, regarda la réaction qu’elle aurait à sa phrase, amis il préféra dire autre chose, pour qu’elle ne raccroche pas tout de suite. Il ce précipita dans sa tête et trouva autre chose à lui dire, comme pour répondre à la remarque qu’elle lui avait fait au parc.

- Ma vie privée n’est pas faites qu’avec des call-girls, mais j’ai cru percevoir une pointe de jalousie dans votre voix, quand vous en parliez. Mais passons, ce n’est pas le plus important, vous me dites tous les jours d’être plus adulte et pour une fois que je vous laisse parler sans vous coupez, vous vous partez comme ça, en m’envoyant balader.

House regarda le comportement qu’elle aurait à toutes ses remarques, mais surtout il essaya de ne pas se faire remarqué, pour qu’elle ne trouve pas d’où il l’appelait.

Le vendeur commençait à lui rendre la monnaie quand elle lui fit signe que c'était inutile tout en entendant alors une voix bien familière, elle attrapa son portable de sa main libre et se redressa pour s'apercevoir en regardant autour d'elle ou pouvait bien se planquer House. Si elle avait pu le fusiller sur place elle l'aurait fait et aussi loin qu'il se trouvait il pouvait bien voir l'énervement sur le visage de Cuddy. Du moins le présumait-elle puisqu'il pouvait la voir s'acheter un café.

- Vous n'êtes qu'...

Elle n'eut pas le temps de finir qu'il se remit à parler. Elle soupira et prit son café, laissant son sac à main accroché à son bras, sa main tenant maintenant le café, l'autre son portable.

- De la jalousie? A quel sujet, le fait qu'elles gagnent sans doute plus d'argent que moi rien qu'en venant vous voir?

Bah oui, il avait bien lu en elle, mais bon, ça c'était encore autre chose, et comme toujours, leur discussion tournait toujours au sarcasme, pourquoi ne pouvaient-ils pas discuter calmement? Peut-être parce qu'ils étaient tous deux des fortes têtes et que depuis le temps ils n'avaient jamais envisager d'autres types de discussion.

- Où êtes-vous, je sais que vous êtes dans le coin, sortez de votre planque et on parlera.

Elle s'y était résigné, après tout peut-être que lui parler de ça l'aiderait, d'une manière ou d'une autre.

House vit qu’elle venait de se redresser et qu’elle le cherchait du regard. Ils e bloqua contre le mur dans la rue et une femme passa devant lui, il lui fit une grimace et elle passa son chemin. Il vit son regarda, car elle venait de passer devant lui avec son regard et il sourit, en voyant son visage. Il l’entendit parler et il sourit quand elle arrêta sa phrase, il ce dit qu’il allait s’en prendre pleins la tête s’il continuait. Puis, à sa deuxième remarque, il fronça les sourcils.

- Oh, vous voulez peut-être que je vous paye, sans problème, mais il va falloir coucher avec moi dans ce cas.

Alors, il l’écouta de nouveau parler et en l’entendant dire qu’il pouvait venir le voir, il ce dit que c’était trop facile, trop trop facile. Elle voulait bien lui parler tout d’un coup, il resta méfiant, mais il décida d’avancer, alors il fut à découvert et il avança vers elle. Il avait remarqué qu’elle l’avait vu et il dit dan son portable.

- En plus, je suis en train de bouffer mon forfait pour une personne qui ne m’apprécie même pas à lors que moi, je ne veux que son bonh . . .

Il raccrocha alors, pour ne pas finir sa phrase, il s’était tellement emporté qu’il avait faillit dire des choses qu’il n’aurait pas en temps normal, alors il ferma son portable et avança vers elle.

- On en parle où ?

En plus il avait l'audace de continuer sur sa lancée, indémontable décidemment, mais la remarque la fit sourire.

- Vous n'auriez pas les moyen de me payer même si je triplais votre salaire.

Rétorquat-elle alors à sa remarque, bah oui, celà sortait toujours du tac au tac, un jeu dont chacun connaissait les règles depuis le temps. Puis le temps qu'elle stoppe de sourire, elle le vit sortir de sa cachette et avancer vers elle, elle ne prétait presque plus attention à ce qu'il disait, encore du sarcasme, jusqu'à vers la fin de sa phrase, elle fronça les sourcils, avait-elle bien entendu, et en un rien de temps il était là devant elle. Elle raccrocha alors à son tour et prit son café une fois son portable rangé dans sa poche de veste.

- La table là-bas.

Désigna-t-elle de l'index, une table en pierre servant aux gens voulant pic-niquer dans le parc les jours de beau temps. Elle salua le vendeur et prit donc le chemin de la table et une fois arrivée, s'assit sur un des deux bancs de part et d'autre de la table, posant sac à main et café ensuite.

House qui avait entendu la réaction de Cuddy, à propos du fait qu’il ne pourrait pas la payer, lui fit lâcher un sourire, mais il n’en dit rien de plus que ça, le sujet reviendrait de lui même, alors il aurait une réponse à ce moment là et même si le sujet ne revenait pas, il lui en toucherait deux mots. Puis, une fois devant lui, il l’écouta parler et lui montra la table. Alors, quand Lisa salua le vendeur de café, House la laissa passer devant et il regarda l’homme, en disant tout bas pour que Cuddy ne l’entende pas.

- La reluque pas, c’est ma meuf.

Il avait dit ça, pour plusieurs raisons, mais surtout pour qu’il arrête de la dévorer des yeux, comme il le faisait. Alors, il rejoigna Cuddy à la table et s’assit face à elle. Une fois assit, il regarda son café avec envie, car il avait un peu froid, puis il posa sa canne entre ses jambes et regarda Cuddy, sans rien dire, il la laisserait lancer le sujet mais il ne pût s’empêcher juste avant.

- Au fait, pour que je vous paye pour nos ébats, il faudrait que vous puissiez vous en défaire. Je sais que vous aimez que je vous fasse l’amour, alors pourquoi vous payer, vu que vous venez très facilement dans mon lit.

House avait dit ça assez fort, pour que les gens autour entende, ce qui fonctionna, vu que certaines personnes tournaient la tête vers eux. Il vit les différentes réactions et sourit, en la fixant dans les yeux.

- Voilà, à vous de parler.

Elle voyait bien qu'il observait son gobelet de café avec insistance, il en avait envie, aussi but-elle une bonne rasade avant de le reposer, de retirer le capuchon et de le lui tendre.

- Puisqu'il semble vous faire tellement envie.

Puis elle l'écouta parler, elle aurait pu se lever dans l'instant pour lui en coller une si elle savait que ce geste aurait eut une quelconque utilité, comme le stopper de raconter de telles anneries. Elle regarda en direction des personnes qui la fixaient à présent du regard, fit signe qu'elle n'avait aucune idée de quoi il pouvait parler et replaca son attention sur lui.

- Ce n'est pas parce que c'est arrivé une fois dans le passé que celà se reproduira House, ne prenez pas vos rêves pour des réalités.

Elle s'accouda alors à la table, posant ses deux mains devant elle, entrelacant ses doigts et cherchant comment aborder le sujet sans qu'il se foute de sa gueule en moins de deux secondes.

- Voilà, j'ai 3 donneurs potentiels, tous de brillants hommes, beaux et séduisants, avec de bons dossiers, mais je ne peux pas choisir, je sais que c'est le principe même de ce genre de chose de ne pas avoir besoin du donneur pour autre chose que son don, mais... Dans le fond je ne peux pas me résoudre à l'idée que si jamais ça marchait cette fois, l'enfant en connaitrait jamais son pere.

House était donc face à Cuddy et après avoir bien regarder son café, il la vit en boire et il s’assit au fond de son siège, en la regardant faire, puis elle lui tendit la café et il fut assez surprit, mais il accepta et but une gorgée et le rendit à Cuddy, en faisant un hochement de tête, en signe de remerciement, ce qu’il n’aurait jamais fait en temps normal. Puis, il l’écouta parler et il passa sa langue sur ses lèvres, pour récupérer la chaleur du café qui restait et il l’écouta parler, d’une chose qui était arrivé entre eux, il y a quelques années déjà. Puis, il lui fit un clin d’œil, en ouvrant grand la bouche, pour dire qu’elle pourrait re craquer un jour. Puis, il la vit prendre une position des plus sérieuse, alors, il s’assit encore mieux au fond de siège et posa sa canne sur le côté et l’écouta attentivement.

Après qu’elle ait parlée, il laissa une pause, que dire à tout ça, après tout, elle désire un mari et un bébé, elle peut avoir le bébé pour le moment, mais pas le mari, qu’elle prenne une personne qu’elle connaît et qu’elle apprécie, elle peut bien trouver dans son entourage, ou même des médecins à l’hôpital, qui sont célibataire, il y en a tout une flopé. Alors, il la fixa dans les yeux pour lui répondre.

- En gros, vous voulez le beurre, qui est le bébé, l’argent du beurre, qui est votre bonheur et le cul du crémier, qui serait un époux. Vous pouvez les avoir tout les trois, pour le bébé, si ça marche, ce sera dans pas longtemps, pour ce qui est de l’époux, vous devez avoir des hommes bien autour de vous, qui veuille être père, ou même s’il ne veulent pas, qui soient près à accepter d’être avec vous et qui veille d’une femme intelligente et respectable comme vous.

House disait ça très gentiment, mais il se rendit compte, qu’il disait dans la fin de phrase, ce que lui ressent envers elle, il la trouve très belle et il la respecte malgré les différentes altercations qu’ils ont pût avoir au fil des années, mais il l’apprécie énormément. Ce rendant compte qu’il se dévoilait, il devait trouver une parade, mais sur le moment, il n’en trouva pas, alors, il prit le café et en but une gorgée, puis le lui rendit, sans rien dire de plus.

Elle l'écouta donc, après qu'il eut réfléchit à ce qu'elle venait de lui dire, et comme toujours il avait trouver le moyen de formuler la chose à sa façon, typique d'House qui ne pouvait s'empêcher de toujours mettre dans un sujet aussi sérieux soit-il du sexe.

- C'est à peu près ça oui.

Le beurre et l'argent du beurre, on le veut tous au fond, et était-ce tellement demander d'avoir le droit d'être heureuse comme tant d'autres femmes à son âge? Non, surtout qu'elle n'avait rien à envier, sauf peut-être la maternité à la plupart d'entre elles.
Puis en y repensant, à ce qu'il venait de dire bien sûr, elle s'étonna, il la complimentait, et en plus semblait sincère, qu'est-ce qu'avait mis le serveur dans ce café? S'il lui restait du stock elle était volontiers preneuse. Puis elle reta silencieuse un moment et décida de contrecarré le ton sérieux en plaisantant, et aussi voulant voir ce que provoquerait sa réponse chez lui.

- Hum c'est vrai, dans l'hopital... Thompson est plutôt mignon, mais j'aime que moyennement les blonds, Carter, non pas assez grand...

Elle se tapa la tête avec la main en le regardant un sourire sur le visage.

- Mais je suis bête, Wilson ferait parfaitement l'affaire et en plus je suis certaine qu'il ne verait aucun inconvénient à un quatrième marriage! Vous êtes un génie!

Le tout dit avec l'air le plus sérieux au monde. Elle sortit même son portable de sa poche et chercha son numéro dans sa mémoire.

- Je l'apelle tout de suite.

House regarda Cuddy et il essayer de cacher ce qu’il pensait en lui-même, alors après avoir but le café, il regarda autour d’eux, pour ne pas à avoir croiser le regard de Lisa. Il fit ça pendant un bon moment et il écouta quand elle lui parla. Puis, elle ce mit à discuter de certains médecins de l’hôpital, alors il pencha la tête sur le côté quand elle parla des premiers médecins qui lui conviendrait, mais elle avait raison, ils n’étaient pas si bien que ça et puis pour House de toute façon, ce que Cuddy devait mettre en avant, c’était l’intelligence et non la beauté, ça le bébé le tiendrait de sa mère, alors en ce rendant compte de ses pensées, il arrêta tout de suite et reposa son attention sur sa partenaire. Puis, il l’entendit parler de Wilson, il cru qu’il allait faire un malaise et essaya de ne rien montrer de ce qu’il éprouvait sur le moment, mais il ne savait pas si c’était très convainquant. Alors, il l’écouta parler jusqu’au bout et il la vit chercher son portable dans sa poche.

- Ca c’est vrai que vous êtes bête, ça se voit que vous ne côtoyez pas souvent Wilson. Un quatrième mariage, il serait preneur, mais pas avec vous. Il vous considère comme une amie et même si il vous apprécie beaucoup, il ne serait pas près à se marier avec vous.

Puis House dit tout bas, espérant ne pas être entendu de Cuddy.

- Et de toute façon, s’il accepte, je le tue.

Puis, il la voyait qui cherchait le numéro de Wilson, alors il lui prit son portable et le mit dans sa veste. Il la regarda dans les yeux et ne pût pas dire un mot de plus, comme subjuguer par la femme qu’il avait devant lui et le fait qu’il est des sentiments refoulés depuis des années. Que dire ? Que faire ? Il ne savait que répondre à ses questions.

- Amie ah oui, c'est pour ça qu'il m'a invité à diner chez lui vendredi prochain? En privé?

Ce qui en plus était vrai, ils étaient déjà aller deux fois au théâtre ensemble, et elle avait pu apprécié le fait qu'il aime sortir au théâtre, ferrue d'art dramatique qu'elle était, voir une bonne pièce ne pouvait que faire pencher la balance en sa faveur, même s'il y avait rien de l'autre côté pour réellement faire contre-poids.
Elle allait appuyer sur le bouton d'appel quand il lui prit le portable des main et l'enffoura dans sa poche de veste. Elle ne dit rien et se contenta de mettre le coude sur la table et de tendre sa main pour qu'il lui redonne. Mais voyant qu'il n'en faisait rien elle fronça les sourcils et reprit son air autoritaire.

- Rendez-moi tout de suite mon téléphone.

Toujours pas de réponse, elle prit alors le gobelet de café en main, menancant de le lui jeter à la figure.

- House!!!

House fut surprit de ses premiers propos, Wilson ne le lui en avait pas parlé. Sûrement, pur ne pas avoir de remarques déplacés et graveleuses de la part de House, mais ce dernier savait que Wilson pouvait coucher avec Cuddy, mais il savait aussi qu’il ne serait pas près à se marier pour le moment, il sortait de son dernier divorce et c’était trop tôt pour lui, mais il préféra occulté ça de ses pensées et écouta Cuddy parler. Puis, comme il venait de prendre son portable, il ce dit qu’il pourrait tenter une chose. Tout en réfléchissant il vit le gobelet de café qu’elle pourrait lui lancer, ça ne lui faisait vraiment pas peur, mais il prit le portable de Cuddy et fouina dans le répertoire et il lui tendit son téléphone et lui expliqua.

- Je viens d’appeler une personne qui pourrait vous convenir mieux que Wilson, parlez lui.

House lui tendit le portable et cacha le nom de la personne appelée pour qu’elle ne voie pas tout de suite de qui il s’agissait. Il savait que c’était son numéro à lui, mais il ne pouvait pas le lui dire en face. Après, tout il s’engueulait à longueur de journées, alors il se voyait mal lui dire en face qu’il a des sentiments pour elle, qui sont refoulés et ce faire rembarer dans les deux secondes qui allaient suivre.

Et comme d'habitude il fit la tête brûlée et au lieu de le lui rendre s'amusa à composer dieu sait quel numéro, elle reposa le gobelet devant elle, s'accoudant à la table des deux bras, posant son menton sur le dos de ses mains jointes.

- Vous, vous croyez donc savoir quel est mon genre d'homme? Je suis curieuse de voir ça, laissez moi devinez, il n'existe pas et vous avez appeler dieu sait quel numéro pour que je passe pour une idiote.

Mais voyant son air sérieux, elle soupira et prit le portable le collant à son oreille, le téléphone sonnait dans le vide, visiblement la fameuse personne n'était pas là. Puis une sonnerie retentit, juste face à elle, elle pensa à une coincidence, il avait quitté l'hopital pour lui coller le train, Chase ou Cameron avait peut-être eut un cas entre temps et venez aux nouvelles pour mettre la main sur lui.

- Vous ne décrochez pas?

Demanda-t-elle alors, bien loin de pouvoir soupsçonner qui aller lui répondre pour sa part.

Quand il entendit les propos de Cuddy, il eu un sourire et souleva un sourcils, en hochant la tête, pour qu’il qu’en effet, il savait quel serait son genre d’homme. Puis, comme il lui tendait le téléphone, il vit qu’elle ne regardait pas le nom n’y le numéro et son portable se mit à sonner. Quand Lisa posa sa question pour qu’il réponde, il prit son portable et appuya sur le bouton vert. Il attendit un peu pour voir si Lisa avait entendu que ça avait décroché et ensuite, il posa son bras gauche contre son ventre et fit reposer le bras droit dessus, tout en ayant le téléphone à l’oreille. Il eu un sourire, en coin, comme si la personne qui lui parlait dans l’appareil lui disait une chose drôle, mais en fait, il attendait que Lisa réponde.

Il se racla la gorge et savait que ça allait résonner du côté de Cuddy, alors, il remit bien dans sa chaise, mais gardant la même positon. Puis, il resta encore un moment sans rien dire et finit par froncer les sourcils, en regardant Lisa.

- Vous comptez prendre la parole, ou rester là à avoir peur de parler.

Il la fixa dans les yeux, sachant qu’elle allait soit esquisser un sourire, soit raccrocher, en lui disant qu’il est un imbécile, voir savoir pourquoi il penserait qu’il serait bien pour elle. A cette pensée, il ce dit qu’il aurait mieux fait de ne pas jouer à ce petit jeu, mais il ne se dégonfla pas et il attendit une réaction de la part de Lisa.

Elle attendit donc, toujours pas de réponse, elle commençait à s'impatientern tapotant du pied sous la table balançant un "allo" entre temps puis quand il se racla la gorge, elle comprit, mais sans bouger. Ainsi donc il pensait qu'il ferait un meilleur parti pour elle que Wilson, de la jalousie ou la simple envie de la faire une fois de plus tourner en bourrique? Et voyant qu'elle ne parlait toujours pas il reprit la parole, ce à quoi elle ne répondit pas non plus, enfin pas de suite. Elle raccrocha alors, mais ne se mit pas pour autant à l"engueuler.

- Je ne vois pas pourquoi je devrais avoir peur de vous parler, et vu que vous avez vos fesses posées sur le banc face à moi, pas besoin de faire souffrir mon forfait, je suis là, vous aussi, parlons entre adultes pour une fois.

Dit-elle en rangeant son portable dans sa poche, et attendant donc qu'il parle, ou s'explique, ce qui n'arriverait sûrement pas et elle devrait encore lui sortir les vers du nez, mais elle attendait, mains jointes devant elle, son regard bleu fixé sur lui.

House vit Lisa qui venait de comprendre qu’il s’agissait de lui. Puis, quand elle raccrocha, il la regarda, toujours le téléphone à l’oreille et il raccrocha quand elle se mit à lui parler. Il entendit le mot adulte et parlons, ce qui ne lui allait pas, alors, il rangea son portable dans sa poste de jean et le regarda. Il ce dit qu’il aurait vraiment dût ne pas faire ce coup de fil. Alors, il croisa les bras et la fixa dans les yeux. Apparemment, elle voulait qu’il prenne la parole, mais il ne savait pas trop quoi dire. Enfin, si, il savait mais elle n’apprécierait sûrement pas. Il préférait être sarcastique et il ne dirait pas la vérité, ou de façon détournée en tout cas.

- Si je me suis appelé, c’était pour voir si ma nouvelle sonnerie était vraiment bien ou pas.

Il eu un sourire en coin et resta la fixer sans rien dire d’autre. Il savait qu’elle allait encore le regarder avec son regard noir et l’engueuler encore une fois, mais il ne parlerait que si elle faisait un effort de son côté.

- Et Wilson n'aurait pas pu vous dire ça...

Elle prit le gobelet de café, remit le capuchon dessus et but alors, sans rien ajouter d'autres, il faisait l'enfant et le muet, bien, tant pis pour lui. Elle regarda alors autour dans le parc, plus loin un couple avançait en poussant un landeau, l'air ravi de leurs visage la fit sourire, avant que ce sourire ne s'assombrisse lui rapellant ce qu'elle n'avait pas et n'aurait sans doute jamais. Elle tourna à nouveau la tête vers lui et laissa le gobelet sur la table.

- Je vais sûrement prendre le chercheur, l'intelligence c'est important chez un enfant pour son avenir.

Dit-elle en se levant du banc, prenant son sac à main.

- Finalement vous m'avez aidé, malgré vous.

Rajouta-t-elle avant de commencer à partir sans rien dire de plus, même si elle savait pertinement qu'encore une fois elle répondrait non à la demande de la banque, si elle avait un jour penser que ça serait aussi difficile de trouver un donneur, elle aurait sans doute d'abord commencer par adopter.

Il écouta parler Cuddy et ne dit rien à sa première remarque, il avait été voir Wilson pour le lui demander en plus. D’ailleurs, il lui avait que c’était une nouvelle sonnerie, sympathique. Il la regard alors boire son café et ensuite, il tourna la tête, en voyant le sourire, sur le visage de Lisa et il vit aussi le couple, qui passait par là, alors, il se retourna vers elle et vit son sourire s’effacer et il allait parler, quand elle le fit, alors, il écouta. Elle venait de choisir et lui ne dit rien mais au fond de lui, il voulait lui dire de ne prendre personne d’autres, à part lui. Il la vit ensuite se lever lui parler et partir. Il resta assit écoutant les dernières paroles de Lisa résonner dans sa tête et il le va la tête vers elle. Il vit qu’elle était loin de lui, mais il prit sa canne et partit le plus vite qu’il pouvait.

Il ce demandait ce qu’il allait bien pouvoir faire une fois qu’il serait devant elle, il n’en savait rien du tout, mais il improviserait comme d’habitude. Il le fait souvent, il devrait trouver une parade. Finalement, il rejoigna Lisa et la prit par le bras, pour la faire s’arrêter et il se mit face à elle et resta silencieux. Il ne pouvait pas improviser, il ne savait pas quoi dire, il n’en avait aucune idée. Mais il savait que s’il restait silencieux aussi longtemps, elle lui demanderait de parler, ou alors elle partirait et il cette fois, il ne la retaperait pas. Alors, il prit son courage à deux mains pour parler et il la fixa dans les yeux.

- Comme vous n’avez pas voulut du déjeuner, ce midi, un dîner ce soir ce serait mieux ?

Il ce surprit à lui donner un autre rendez-vous, mais on pouvait lire dans ses yeux qu’il serait content qu’elle accepte sa proposition et ce n’était pas pour la Vicodin, pour ça il pourrait improviser plus facilement. Il continua de la fixer et attendait une réponse.

» Dormir [Cuddy]
» Travailler [Cuddy]
» Remorts [Cuddy]
» A contre coeur [Cuddy]