Fin de soirée [Cuddy]

Greg savait qu’elle allait le congédier ou alors lui proposer de venir chez elle, mais en tout bien tout honneur et il respecterait son choix. Alors, quand le taxi s’arrêta, il ce dit que comme elle n’avait pas parlée, elle devait le laisser partir pour chez lui. Alors, il la vit passer la tête dans le véhicule et il l’écouta parler. Elle lui proposait de venir chez lui et il sourit. Il sortit de la voiture et ferma la portière. Puis, il sortit de l’argent et paya le chauffeur, qui partit alors. Une fois seuls dans la rue, House regarda Lisa et attendit qu’elle commence à marcher, il lui emboîta alors le pas et ils partirent vers la maison de Cuddy. Greg pense à pleins de choses, le temps du trajet. Il ce dit qu’elle était fatiguée et qu’elle devrait se reposer et quand elle serait endormit, il partirait pour chez lui, après avoir appelé un taxi bien sûr, il ne ferait pas le chemin à pied, beaucoup trop long.

Puis, il continua d’avancer en même temps qu’elle, même collé à elle, au cas ou il faudrait la soutenir, si elle se sentait mal, mais aussi parce qu’il aimait être proche d’elle. Dire qu’en temps normal, il l’espionnait dans les buissons, quand elle ramenait un homme chez elle. Puis, il tourna la tête vers sa planque et ne vit rien ni personne. Il reposa alors son attention sur Lisa et sourit.

- Wilson est venu vous voir aujourd’hui ?

Il voulait le savoir pour pouvoir lui demander si elle avait parlé du baiser et de tout ce qui s’était passé la veille dans la chambre de Lisa.

Une fois qu'il fut sortit du taxi, elle attendit qu'il le paye puis commença à avancer à ses côtés, voyant bien qu'il ne décollerait pas d'un pouce plus loin, probablement au cas où elle se sentirait plus faible d'un coup, mais ça allait, elle se sentait bien, bien qu'un peu fatiguée mais c'était normal après tout. Elle le regarda observer sa planque, et oui, elle le savait, comment sinon savait-il pour les hommes qui étaient venus chez elle les derniers temps sinon en l'espionnant.

- Vous n'aurez plus besoin de vous y cacher maintenant.

Dit-elle en commençant à fouiller dans son sac pour y trouver ses clés, et une fois celles-ci attrapées dans le bazar de son sac, elle monta les trois marches menant à la porte d'entrée et y enfonça la clé, se retournant vers lui.

- Non, personne n'est passé aujourd'hui, et de toute manière il n'y aurait eu personne, vu que j'étais derrière mon bureau.

Lui rapella-t-elle alors, oui, même si quelqu'un serait venu la voir, il n'aurait trouvé qu'un lit vide et n'aurait pas penser à aller la chercher à son bureau après l'accident et pourtant... Elle ouvrit donc la porte et entra chez elle, le laissant passer ensuite pour refermer derrière eux et retirer sa veste qu'elle accrocha au porte--menteau de l'entrée.

Greg écouta alors parler Lisa et eu un sourire aux lèvres, quand elle parla de sa planque, au moins elle le savait c’était déjà ça. Puis, en y réfléchissant bien, elle venait de lui dire qu’elle se concentrerait sur leur relation, vu qu’elle lui disait qu’il n’aurait pût à aller dans ses fameux buissons. Il sourit à cette idée d’exclusivité, amis en même temps ça lui faisait peur, parce que le fait d’avoir une relation avec une femme autre qu’un call-girls, ça lui faisait un peu peur, mais il aimait réellement Lisa et il était prêt à faire des sacrifices, mais pas trop quand même. Puis, il continua de la suivre et il monta lui aussi les marches et regarda Lisa avec ses clés et la porte.

Il ne fit que hocher la tête, pour répondre à sa remarque sur Wilson. En effet, personne n’aurait pensé la chercher à son bureau, à cause de son état, alors il la suivit et entra dans la maison et il posa sa veste aussi sur la porte manteau et resta dans le hall, à regarder autour de lui. Pour la première fois, il était dans cette maison, en terrain inconnu, mais en ami et pas en ennemis, pour une fois. Après tout, il était à pour l’aider et non pour penser au sexe, pour une fois, ça lui changeait. Alors, il sourit, en voyant tout en ordre, pas une chose qui traînait, comparé à son apparemment à lui, ou la plus part des choses propres, ce trouvait . . . nulle part en fait. Alors, il continua de regarder autour de lui, sans rien dire.

Elle la laissa dans l'entrée pour aller vers la cuisine et faire couler au plus vite du café frais, celui de l'hopital était bon oui, mais trop caféiné, et avec ce qu'elle avait déjà bu aujourd'hui, un de plus et elle ne dormirait pas de la nuit.

- Vous pouvez visiter si vous voulez, juste pas la deuxième porte à droite.

Puisqu'il s'agissait de sa chambre, elle acceptait bien qu'il fouille, car elle savait pertinement qu'il ne pourrait s'en empêcher, bien trop curieux de nature pour ne pas céder à la tentation d'explorer sa maison maintenant qu'il y était enfin entré, alors autant qu'il le fasse mais au moins qu'il n'entre pas dans sa chambre, pas qu'il puisse y trouver des choses (quoique) mais surtout parce que ça restait, pour le moment en tout cas, quelque chose de très privé pour elle, et qu'elle préférait attendre que les choses soient plus avancées entre eux pour qu'il puisse y mettre les pieds.

- Café? Bière?

Demanda-t-elle alors sortant la tête de la cuisine pour regarder où il avait pu passer entre temps.

Notre misanthrope préféré accepta la proposition de Lisa et alla dans le salon, pour voir un peu les fauteuils et surtout s’il n’y avait pas des livres qui traînaient au moins un pue, mais rien du tout et il l’entendit parler de la porte interdite et il eu un sourire en coin et il ce dit que s’il voulait que ça marche, il devrait respecter au moins ça. Alors, il continua de faire un tour dans le salon et alla près de la fenêtre, il remarqua qu’elle donnait vers les buissons où il se cachait souvent. Il eu un sourire et alla vers la télévision et le reste de la pièce. Puis, il passa devant la porte et tenté de l’ouvrir, il mit la main sur la porte, mais ne l’ouvrit pas, il rangea sa main le long de son corps et continua la visite.

Puis, il entendit la voix de Lisa et il alla la rejoindre dans la cuisine. Une fois dedans, il regarda autour de lui, avec tous ses tiroirs et ses rangements, une vraie maniaque, alors il sourit et reposa son attention sur elle.

- Un café.

Alors, il la contempla, cette femme qui lui avait céder pour un moment et qui pourrait lui donner un amour qu’il n’a jamais connu jusque là, il était bien, il ne pensait plus, il ne faisait que la fixer, la dévorant du regard et près à parler ou à tout autre chose, ce qu’elle demanderait, il le ferait, amis en étant un minimum raisonnable. Puis, il la fixa dans les yeux et ne dit rien, il la regardait dans son habitat naturel, on aurait dit qu’il pensait à un documentaire animalier et il sourit à cette idée. Il ce demanda comment le présentateur pourrait la présenter. "La Lisa Cuddy, une espère en voit de disparition, est une espèce, qui aime le rangement, l’ordre et son employé, Gregory House". Bonne description et il sourit de plus belle.

Elle cherchait une tasse, laissant le placard ouveert au cas où elle devrait sortir une deuxième, le temps qu'il lui réponde, laissant le café coulé doucement. Oui, elle aimait que sa maison soit propre, mais de là à être maniaque, il y avait quand même un monde, et il arrivait pour une fois où tout était rangé, d'habitude il pouvait y avoir de la vaisselle salle dans l'évier, un pull trainant sur le canapé et de dossiers un peu partout.

- Café, bien.

Elle sortit donc une seconde tasse et refermit le placard, se tournant pour poser le tout sur la table, puis le vit la fixé du regard. Elle sourit, il avait l'air totalement figé, c'était amusant à voir d'ailleurs, puis elle sentit ses joues légèrement s'empourprées.

- Du sucre ou noir?

Demanda-t-elle pour le café, retournant au placard, cette fois-ci à sa hauteur pour sortir du sucre, deux pour sa part, attendant sa réponse, même s'il semblait complétement ailleurs et n'avait peut-être pas entendu sa question.

- House, vous allez bien?

Lui secouant la main devant le visage pour le sortir de sa contemplation.

Il était toujours à la fixer du regard, il la trouvait tellement belle et parfaite, qu’il ne la vit pas avancer vers lui. Il l’entendit parler et quand il vit sa main passer devant ses yeux, il la vit proche de lui et eu un léger sursaut. Alors, il se reprit et il regarda Lisa dans les yeux et pas dans le décolleté pour une fois et il finit par ouvrit la bouche.

- Noir et je vais plutôt bien.

Mais il ne pût s’empêcher de l’embrasser à nouveau et il prolongea le plus possible son baiser et se détacha finalement d’elle pour aller à l’autre bout de la pièce. Il était bien avec elle, mais à chaque fois qu’il l’embrasait, il savait qu’il voudrait aller plus loin et il ne voulait pas le faire, si elle ne le voulait pas. Depuis quand il faisait attention aux autres et surtout à Lisa ? Mais i avait des sentiments pour elle et il savait que c’était réciproque, ais il ne voulait pas précipiter les choses, alors il se mit face au café et ne fit que le regarder sans rien dire.

A peine avait-elle eu sa réponser qu'il s'approchait et l'embrassait une nouvelle fois. Elle le laissa faire d'abord, puis prolongea ce baiser, restant là, sur place, sans avoir la force de bouger ou de faire quoique ce soit d'autre que de rester là, ses lèvres collées aux siennes, les yeux clos, se laissant envahir par cette drôle de sensation qui lui picotait le ventre à chaque fois qu'il l'embrassait puis quand le tout s'acheva, elle recula, le regardant un instant, avant de reprendre ses esprits.
C'était dur dans ces conditions là de résister à une telle attirance mais de un, elle ne pouvait pas physiquement, et de deux, s'ils passaient de suite à ce genre de choses, qui lui disait qu'après les choses resteraient les même et n'allait pas même s'énvenimer?

- Noir.

Elle s'en retourna donc à la cafetière, le café était prêt, elle le servit donc, et elle par la même occasion puis alla la reposer et s'installa sur sa chaise, mettant ses deux sucres dans sa tasse, touillant le tout avec une cuiller, un lourd silence s'installant alors, car dans le fond cahcun réfreignait ses pulsions, mais elle savait que c'était pour une bonne cause, la sienne, ou plutôt la leur.

Il restait toujours silencieux et quand elle dit noir, il fit un simple hochement de tête et il l’entendit revenir vers le café et en servit pour eux deux. Alors, elle alla s’asseoir sur une chaise et il fit de même, pour se mettre à côté d’elle et de commencer à boire. Le silence qui s’était installé, était pesant pour lui et il ne savait pas du tout quoi dire, ni quoi faire. Elle avait acceptée qu’il vienne là, mais finalement, pour faire quoi ? Il voulait juste qu’elle soit en sécurité et elle l’était alors après le café, soit il restait dormir sur son canapé, soit il partait. Mais que faire, quand la tentation est trop forte ? Partir, oui c’est la meilleur solution, mais il ne voulait pas le faire, il voulait rester là, près d’elle, avec elle et il ne pouvait se résinier à partir, non il ne pouvait pas la laisser seule.

Alors, il prit un gorgée de café et la regarda du coin de l’œil, toujours aussi belle, malgré tout ce qui s’était passé et aux nombreux baisers venant de lui et qu’elle prolongeait avec plaisir. Il voulait l’embrasser à nouveau, mais ne fit rien, il resta silencieux et ne fit que la fixer à nouveau, mais plus il le faisait et plus il ressentait encore une fois l’envie de rester là, alors il devait trouver un sujet de conversation et il chercha rapidement.

- Les infirmières n’ont pas été trop collantes avec vous ?

Il ce rendit compte que ce n’était pas le meilleur sujet de conversation qu’il aurait pût trouver, mais c’était tout ce qu’il pouvait dire pour le moment, on verrait bien ensuite. Alors, pour cacher sa gêne à ce moment là, il reprit du café et la regarda pour avoir une réponse.

Il est vrai que chacun lutter fortement pour ne pas céder, mais il le fallait, ne pas prendre de risques inutiles, même pour ça. Alors oui forcément, les sujets de discussion pouvaient se limiter, et la tension être palbable et à couper au couteau, mais se précipiter l'iun sur l'autre n'arrangerait rien. Elle prit sa tasse dans ses mains, laissant le contact de la tasse et de la chaleur du café à l'intérieur lui réchauffer les mains, le regardant de temps à autres, tout comme luile faisait, du coin de l'oeil puis il prit enfin la parole. Soulagée elle acquiessa en souriant, reposant la tasse sur la table sans pour autant la lâcher.

- Un vrai bataillon, à elles cinq presque aussi bornée que vous.

Dit-elle dans un sourire, oui, elle lui avait tenu la jambe, à lui dire de rester alitée, de ne pas trop se fatiguer, de ne pas aller travailler à son bureau, de ne pas travailelr du tout même, et surtout d'éviter de trop bouger, mais aucune n'était parvenue à la raisonner et de toute manière, même si une aurait pu réussir, c'était elle qui avait l'as en main, le joker "je suis votre patronne alors c'est moi qui décide". Avec ça pas moyen de lutter évidemment. Mais au final elle s'était remise bien plus vite en retrouvant un rythme de travail quasi normal et surtout son bureau.
Elle le regarda une fois de plus, le voyant sourire. Ce sourire qu'elle observait depuis tant d'années, tour à tour sarcastique, sincère ou de facade. Mais elle ne pouvait pas décoller ses yeux de son visage, qu'elle voyait pour une fois exprimer des sentiments qu'elle ne lui croyait pas possible de ressentir un jour, et encore moins pour elle.

Il la fixait toujours et il l’écouta parler, il eu un autre sourire aux propos de Lisa.

- Pas presque, elles ne peuvent pas me battre là-dessus, c’est mon petit plaisir de vous embêter à longueur de journées.

Il sourit à nouveau et finit par boire à nouveau du café. Il était bon, mais ne pouvait pas le faire penser à autre chose qu’au fait qu’il était avec elle et qu’il voulait la prendre dans ses bras et la protéger contre tout ceux qui oseraient s’en prendre à elle. Alors, en buvant son café, il vit qu’elle le fixait et il ce dit que sur ce point là, ils étaient les mêmes. En effet, ils ne pouvaient décoller leurs regards l’un d l’autre et il resta aussi la fixer dan les yeux. Ses yeux superbes qui plus d’une fois l’on fait fondre, mais en silence, sans jamais lui montrer qu’il pourrait céder et pourquoi pas changer légèrement ses manières. Ce n’est pas parce qu’il était amoureux d’elle, qu’il changerait totalement, non, il y avait des limites quand même, il l’aimait mais il savait aussi que son état habituel resterait le même, ou en tout cas, avec les autres.

- Je suis pose que la porte que vous m’avez interdit, c’est celle de votre chambre ?

Il la fixait toujours, il ne disait pas a pour y rentrer non, il voulait juste savoir si c’était bien ça. Enfin, il savait que c’était belle et bien cette porte, mais il voulait surtout savoir si elle lui montrerait son endroit secret, malgré les interdits. Il n’en profiterait pas, il voulait juste la revoir, cette chambre qu’il avait fouler auparavant pour une maladie à découvrir.

Et il avait bien raison, même une légion d'infirmières bornées ne lui ferait pas perdre patience comme lui avait eut l'habitude depuis tout ce temps de faire parfois même avec un rien, une réflexion, la manière qu'il avait de l'observer en jouant au voyeur, ou simplement en refusant de faire ses consultations.

- Un plaisir que vous vous plaisez à cultiver.

Il est vrai que pratiquement chaque jour il y avait eut un heurs entre eux, parfois très léger oui, mais parfois bien plus grave, comme avec certains patients ayant portés plainte contre lui ou bien sûr, Vogler et plus récemment Tritter.

- Oui, c'est ma chambre, en effet.

Répondit-elle toujours en le fixant du regard, aucune d'eux n'arrivaient plus à s'en défaire, c'était assez comique comme situation pour qui viendrait les voir en les connaissant un minimum et le lien, ou plutôt conmportement qu'ils adoptaient en général l'un face à l'autre. Mais bon, pour le moment le contexte n'était plus le même, forcément, avant ils étaient collègues, amis, patron-employé, mais là ils étaient simplement deux adultes qui s'appréciaient, plus que de mesures.

Greg la fixait toujours et il aimait ça, le fait de pouvoir la dévorer du regard, sans remarque de sa part, amis aussi elle qui le fixait comme il ne l’avait jamais vu faire. Il continuait donc de la fixer, tout en buvant son café et il l’écouta parler. Puis, il sourit légèrement et ce dit qu’elle n’avait pas trot, c’était sa façon de montrer qu’il s’intéressait à elle, ça devait quand même être mieux que de lui couper ses rencards à chaque fois qu’elle sortait avec des hommes. Puis, il se souvient d’un moment qu’il avait trouvé très drôle.

- Vous vous souvenez de la fois où dans votre bureau il y avait des personnes qui pouvaient vous aider à ouvrir un nouveau labo d’oncologie. Moi, j’étais assis sur le comptoir des infirmières et je vous visez avec un objet pour lequel j’avais eu le deuxième prit de l’objet le plus drôle retrouvé dans un orifice. N’empêches, j’avais visé des parties intéressantes de votre anatomie.

Il ne pût s’empêcher de sourire et il continua de la fixer dans les yeux. En effet, ce jour là, il avait commencé par viser son front et la femme en face de Lisa lui avait fait remarquer, qu’elle avait quelque chose sur le front et il avait descendu le viseur à sa poitrine, puis à ses parties génitales. Ce jour là, il était content de lui et puis c’était l’heure de ses pilules. Tient, d’ailleurs, il n’avait pas prit de pilules depuis longtemps, mais il arrêta d’y penser et reposa son attention dans les yeux de Lisa. Finalement, quand il avait entendu la réponse de Lisa pour sa chambre, il ne fit qu’un hochement de tête, sans rien dire de plus et continua de la fixer.

Comment ne pas se souvenir de ce jour là? Elle n'avait eut qu'une envie sur le moment, prendre sa canne et le frapper avec pour n'être qu'un grand gamin incapable de penser une seconde eux autres. Un nouveau labo d'oncologie était une chose importante, et avec ses gamineries, ils avaient fait fuir les donnateurs, obligée par la suite de les rapeller pour s'excuser du comportement de House et qu'elle tenait vraiment à ce qu'ils contribuent, s'ils le désiraient encore après ça, à cette avancée pour le département de Wilson.

- Oui, comment oublier un tel acte puéril qui nous à coûter que quelques milliers de dollars pour aider à soigner le cancer.

Dit-elle en ramenant sa tasse à ses lèvres et buvant une bonne rasade de café avant de reposer la tasse sur la table et de cette fois-ci la lâchée.

- Dieu merci je leur ai dit que vous aviez eu un choc violent et que vous aviez régressé mentalement à l'age de 15 ans, bizarrement ils n'ont pas eu de mal à me croire.

Oui, elle avait bien fait ça aussi, mais bon, en exagérant bien sûr, pour lui faire comprendre que son comportement égoïste pouvait coûter cher aux autres.

Il la regardait toujours et il savait qu’elle ne pouvait oublier ce moment, il avait faillit tout faire capoter pour elle, amis il avait besoin de ses pilules et il l’écouta parler. Alors, il ne dit rien, il n’eu qu’un sourire et il essaya de ce souvenir de qui avait eu le premier prix et pourquoi, il ne trouvait plus, puis il l’écouta parler et fronça les sourcils, comme s’il venait d’être choqué par ce qu’elle venait de dire.

- Je comprends qu’ils n’aient pas eu du mal à vous croire, amis je n’ais pas 15 ans, je n’en ais que 10 même pas. Vous me décevez là.

Il finit par sourire et il reprit du café, il sentit qu’il n’en avait presque plus et comme il ne voulait pas aller dormir, ou pas tout de suite, il avala une légère gorgée et reposa sa tasse sur la table. Il continuait de la fixer dans les yeux et il avait envie de l’embrasser, mais il savait que ça serrait déplacé et il s’était promit de ne pas faire de faux pas avec Lisa, il voudrait prendre son temps et la laisser prendre l’initiative d’aller plus loin quand elle le voudrait. Pourtant un simple baiser, c’est tout ce qu’il voulait faire, mais il ce sortit cette idée de la tête et ne fit que la fixer dans les yeux.

- Que voulez-vous, ma gentillesse, ou plutôt, laxisme, envers vous me predra sans doute un jour.

Dit-elle en se levant et alla nettoyé rapidement sous l'eau sa tasse de café, laissant le tout dans son évier. Elle se retourna vers lui, s'appuyant au rebord de l'évier, puis ajouta.

- Je vais aller me changer, servez-vous si vous avez encore envie de café, ou de grignoter il y a de quoi faire au frigo.

Elle le regarda encore une fois puis alla dans sa chambre pour aller se changer, mais rapidement elle se rendit bien compte que la tâche ne serait pas aussi facile que ça. Soulever elle-même son pull serait douloureux pour le moment, mais lui demander de venir l'aider, n'était pas non plus une bonne idée, après tout elle voulait y aller doucement, et l'aide rà se déshabiller n'était pas vraiment sympa de sa part de le faire venir pour voir ça alors qu'il ne se passerait rien ensuite, elle restait donc là, sans pouvoir réussir à retirer son pull, regardant dans la direction de la cuisine plus loin, soupirant, ne sahcant que faire.

Il sourit à sa première remarque, c’est vrai qu’elle lui laissait des libertés et qu’il en profitait un maximum. Puis, elle se leva et partit nettoyer sa tasse, alors il l’écouta parler et la regarda partir dans sa chambre. Alors, il finit son café et il se leva pour aller aussi laver la tasse et il la posa à côté de celle de Lisa. Il savait qu’elle irait dormit, après s’être changée, mais il ne dit rien et resta dans la cuisine, alors il alla se rasseoir et prit son portable, aucun sms, mais un message vocal. Il l’écouta, c’était Wilson, qui voulait savoir où il était et lui disait que s’il était avec Cuddy, il ne devait pas la faire souffrir, alors il fit rouler ses yeux et regarda le plafond, en écoutant la fin du message et finit par le supprimer. Puis, il envoya un sms à James, pour lui dire qu’il était devant la télévision et qu’il s’ennuyait mortellement, mais il savait que Wilson pouvait passer le voir, mais tant pis, il lui envoya le message. Puis, ne voyant toujours pas Lisa revenir, il rangea son portable et partit vers la porte de sa chambre, il frappa, amis resta à l’extérieur et ne regardant pas à l’intérieur.

- Ca va là dedans ?

Il restait de profil à la porte, pour qu’elle le voie, mais pour que lui ne puisse pas voir ce qu’elle faisait au cas ou elle se changeait pendant qu’il était là.

Elle restait là, debout sans bouger, ne pouvant réussir à lever les bras trop haut sans sentir sa plaie lui tirailler le côté, elle ssoupira, les yeux fermés, la tête levée vers le ciel et dut bien se résoudre à lui demander de l'aide. Elle regarda donc dans sa direction et se mordit la lèvre avant de parler.

- J'ai besoin d'un coup de main.

Elle était encore habillée, le pull légèrement remonté, dévoilant son ventre et le bas de son dos, elle n'avait pas pensée à retirer le bas d'abord, ce qui là ne lui ferait pas mal, mais elle commençait toujours par le haut alors réflexe conditionné, elle avait commençer par son pull. Elle se tourna, lui faisant dos, pour ne pas trop le provoquer en le laissant allégrement regarder sa poitrine une fois son pull retiré, déjà qu'il pourrait le faire en lui enfilant sa nuisette. Elle attendit donc, se préparant au mieux à la situation, car oui, il allait poser ses mains sur elle après tout, et vu dans l'état émotif dans lequel elle était à ce moment là, il lui faudrait rassembler toute ses forces pour ne pas se laisser complétement aller quitte à oublier sa blessure et terminé à l'hopital à nouveau...Mauvais plan!

House se demandait si elle n’était pas tombée ou si elle ne s’était pas fait mal, alors il l’entendit lui demander de l’aide et là il sût qu’il aurait dût mal à se contrôler, s’il l’aidait à se déshabiller. Il prit une grande respiration et entra dans la chambre en regardant un peu autour de lui et il alla jusqu’à elle. Il vit le bas de son dos et ferma les yeux pour secouer la tête et ne pas pensé à ces pulsions. Il avança vers elle et lança sa canne qui atterrit sur le lit. Il se mit derrière elle et resta la regarda un peu, puis il mit ses mains en bas du pull e Lisa et il effleura la peau de cette dernière, il n’avait pas fait exprès, mais il sentit une sensation étrange l’envahir, puis il se reprit et soue lava doucement le pull de Lisa, pour ne pas lui faire mal.

Il sentait Lisa qui avait l’air assez stressée par tout ça, comme lui et il ce dit qu’au moins, il ne céderait pas si elle ne faisait rien, donc ils étaient là pour s’entraider, amis il ce dit que si elle cédait, il ne dirait pas non. Il enleva alors cette pensée de sa tête et finit de lui enlever son pull. Il mit sa tête à côté de l’épaule droite de Lisa, pour mettre le pull sur le lit et en respirant, il ce dit qu’il était là, avec elle, très bien, mais qu’il n’aurait pas dût lui respirer dessus, car elle sentirait du chaud sur son corps. A cette pensée, il ce dit qu’il devait arrêter de penser à tout ça, amis il n’y arrivait pas et puis, il pouvait au moins y penser, sans se jeter sur elle, mais il savait que l’un n’allait pas sans l’autre, alors il resta derrière elle, sans rien dire.

Elle était contente de voir qu'il se contrôlait, ce qui elle le savait lui demandait une bonne dose de self-contrôle, surtout aux vues de la situation et sachant combien tout deux étaient désireux d'aller plus loin sans vraiment le pouvoir. Mais elle ne pouvait pas faire sans lui.
Elle frissonna quand elle sentit sa main lui effleurer la peau, et il avait bien pu le sentir, sa peau toute entière s'était recouverte de chair de poule, lui arrachant même une petite grimace de douleur, sentant à nouveau sa plaie la titiller.
Elle attendit donc et une fois le pull enlever, elle sentir sur son "paule son souffle, mais aussi son odeur, puis attendit qu'il recule pour aller prendre sur le rebord du lit sa nuisette, se retournant doucement vers lui pour qu'il aide encore une fois, après elle le laisserait tranquille, et arrêterait de le torturer de la sorte, mais pour le moment, elle évitait à tout prix son regard, la tête légèrement baissée vers le bas, ses joues devenant peu à peu rouges, de gêne plus que de honte en fait.
Voyant qu'il ne semblait pas réagir elle releva la tête, le regardant toujours sans rien dire, elle pouvait bien lire sur son visage qu'il pensait à tout sauf l'aider, elle aussi, mais pour le moment, elle se contenta de tousser pour le faire revenir à lui et enfila la nuisette jusqu'aux coudes, attendant qu'il souleve le reste pour qu'elle puisse ensuite glisser le long de son coprs et qu'elle termine de se déshabiller seule ensuite. Si elle y arrivait en le sachant juste devant elle.

Greg la regardait toujours de dos à lui et il fixait ses rondeurs et ses formes. Elle était vraiment superbe et en la voyant ainsi il ne pouvait plus se contrôler et pourtant, il se retenait le plus possible. Il ne dit rien, mais resta la fixer sans rien dire et il entendit alors Lisa qui toussait pour qu’il reprenne ses esprits, ce qu’il fit et il la regarda, alors il avança vers elle et il prit la nuisette dan s ses mains et en la fixant dans les yeux, il la fit doucement descendre. Il ne pouvait pas la regarder ailleurs que dans les yeux et il continua de faire descendre sa nuisette. Alors, il ce dit qu’il devrait le faire plus vite, pour en pas céder à la tentation et c’est ce qu’il fit.

Il fit descendre la nuisette plus rapidement en essayant de ne pas lui faire mal et resta devant elle. Il n’avait plus rien à faire là, mais il n’arrivait pas à défaire ses yeux de ceux de Lisa. Il aimait la fixer et partir maintenant lui faisait mal. Il avança alors vers Lisa et l’embrassa sur les lèvres et prolongea longuement le baiser et en se détachant d’elle, alla prendre sa canne sur le lit et partit vers la porte.

- Si vous avez encore besoin de moi, dites-le.

Elle le laissa faire, restant immobile tout le long, comme figée, paralysée par son regard qui se plongeait dans le sien. Elle le sentir accélérer alors le mouvement, pour achever plus tôt cette tâche qu'elle lui avait imposé, sachant pertinement ce qu'elle aurait comme effet sur lui, mais elle ne pouvait faire autrement.
Elle le remerçia d'un bref sourire et le vit alors s'avancer vers elle pour l'embrasser, baiser qu'elle prolongea elle aussi, levant doucement sa main pour se raviser au final, restant debout et droite comme un piquet, ne songeant plus à rien d'autre qu'à rester là, contre lui, ses lèvres mêlées aux siennes, sentant son odeur, sa barbe se froter contre sa peau. Puis quand il recula, elle resta les yeux clos un moment puis l'entendit s'éloigner, elle ne voulait pas qu'il parte, même si pour le moment rien ne pourrait se passer entre eux.

- Vous... Vous pourriez rester dormir ici, j'aurais de nouveau besoin d'aide demain pour me changer.

Lui demanda-t-elle alors, trouvant une bonne excuse, enfin plausible, puisqu'il était vrai qu'elle ne pouvait se changer seule, mais si celà en plus lui permettait de le faire rester ici, c'était une bonne raison non? Elle regarda alors vers lui, attendant de voir s'il préférait plutôt partir et revenir le matin l'aider ou s'il accepterait de dormir sur le canapé.

Greg continua d’avancer vers la porte et il allait sortir, quand il l’écouta parler. Il eu un léger sourire, aux propos de Lisa et il se tourna vers elle. Pourrait-il rester sur la canapé toute la nuit, pour l’aider le lendemain. Alors, il s’avança vers elle et revient se mettre comme il était juste avant de partir. Une fois devant elle il sourit légèrement.

- D’accord, vous auriez une couverture ?

Il resta la fixer dans les yeux ne pouvant à nouveau plus détacher son regard de celui de Lisa, mais il voudrait bien une couverture pour ester sur le canapé et ensuite, il partirait dormir, en la laissant dormir dans sa chambre. Alors, il ce dit qu’il pourrait rester sur le canapé, mais qu’il aurait dû mal le lendemain à l’aider à s’habiller sans céder, amis il devait rester calme et prendre sur lui. Il devait rester neutre à tout cela, devant le corps de sa supérieure, puis, il ce dit qu’il ne devait pas penser à son corps, sinon il craquerait encore. Alors, toujours la fixant dans les yeux, il sourit légèrement et attendit qu’elle veuille bien lui donner une couverture, pour qu’il n’ait pas froid la nuit.

Elle le regardait revenir vers elle, restant toujours de marbe, du moins en apparence, et acquiessa à sa question. Elle resta cependant plantée devant lui un moment à le regarder sans bouger avant d'aller chercher dans un placard une couverture et un oreiller. Elle revint vers lui et les lui tendit.

- Voilà pour vous. Le canapé est confortable, enfin moi je sais que je m'y suis déjà endormie plus d'une fois et qu'il était aussi bon qu'un lit.

Bon, bien sûr elle avait dit celà sans aucun sous-entendu, mais lui pourrait voir les choses différement, et elle ne s'en rendit compte qu'après avoir parler. A l'avenir elle devrait sûrement faire plus attention à tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler. Et si elle se reprenait, elle savait qu'elle s'enfoncerait encore plus, ce qui lui ferait plaisir à lui, et lui montrerait peut-être un peu trop son envie comme lui de passer du canapé au lit sans attendre. Aussi se contenta-t-elle de rester debout, le regardant, attendant qu'il aille au salon pour qu'elle puisse se coucher, même si de le savoir dans la pièce d'à côté ne l'aiderait sûrement pas à passer une nuit tranquille.

Greg la regarda aller cherche une couverture et elle amena même un oreiller et il sourit. Elle pensait à tout pour lui et en les prenant, il l’écouta parler. Quand elle eu finit de parler, il pencha la tête sur el côté en ayant les yeux mis clos, comme pour dire qu’il prenait ça comme un sujet graveleux, mais il reprit assez vte son sérieux, parce qu’il savait qu’ils ne feraient rien ce soir, malgré la tentation. Puis, il resta la fixer un moment et il ne pût s’empêcher de l’embrasser à nouveau. Il prolongea un long moment le baiser et il ce disait qu’il voulait aller plus loin, mais ce retient de faire quoi que ce soit de plus déplacé qu’un baiser. Alors, il s détacha d’elle et la fixa dans les yeux.

- Bonne nuit.

Il sourit et avec ses affaires et sa canne, il partit pour le salon. Il arriva dans devant le canapé et s’allongea dessus, il mit le coussin sous sa tête et la couverture sur lui. Il passa un bras sous sa tête et regarda vers la chambre de Lisa, puis il regarda le plafond et ce dit que c’était bien la première fois qu’il ne coucherait pas avec une femme, mais qu’il dormirait sur son canapé, alors qu’ils pouvaient aller plus loin, mais il voulait attendre, ou plutôt l’attendre elle, pour avoir son avis. Puis, il ferma les yeux attendant que le sommeil arrive.

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